mardi 15 juin 2021

1906, une double tentative d'assassinat à Moussoulens

Si l'on dit qu'à notre époque la délinquance et les crimes sont de plus en plus nombreux, on s'aperçoit en épluchant les journaux du XIXe et début XXe que la violence et les délits étaient tout aussi fréquents qu'aujourd'hui. Nous avons déjà vu sur le blog quelques faits divers concernant des vols et des crimes dans le département, voici maintenant l'histoire d'une double tentative d'assassinat ayant eu lieu à Moussoulens le 20 avril 1906 au soir, rapportée par Le Courrier de l'Aude des 22/23 avril 1906, 24 avril 1906 et 3 août 1906.

Article du Courrier de l'Aude des 22/23 avril 1906 :

 

TENTATIVE D'ASSASSINAT - Dans la nuit de vendredi à samedi, à Moussoulens, deux jeunes gens, Paul Montagné, 23 ans, et Joseph Serres, 19 ans, se sont introduits par escalade dans la chambre où étaient couchées la veuve Cattenat et sa fille et ont porté aux deux femmes plusieurs coups de couteau.

Le parquet et la gendarmerie ayant été prévenus par dépêche, M. le capitaine de gendarmerie s'est transporté ce matin à la première heure à Moussoulens, d'où il a télégraphié que la tentative d'assassinat était caractérisée et l'état des victimes assez graves.

Elles ont reçu les premiers soins d'un étudiant en médecine.

Montagné a été arrêté et il a déclaré qu'il était seul l'auteur de la tentative de meurtre.

Le parquet de Carcassonne accompagné de M. le docteur Peyronnet, médecin légiste, s'est transporté cet après-midi sur les lieux.

Voici de nouveaux détails que nous avons pu recueillir dans la journée auprès d'habitants de Moussoulens, venus au marché, sur la tentative d'assassinat commise la nuit dernière dans la localité :

Il était dix heures et demie quand Montagné a pénétré par escalade et en brisant les carreaux d'une fenêtre dans la maison de la veuve Cattenat. Peu après, les consommateurs d'un café voisin qui se trouve en face entendirent les cris désespérés de la mère et de la fille sur qui le misérable s'acharnait à coups de couteau. La population accourut. La veuve Cattenat échappa au meurtrier et descendit dans la rue par l'échelle même qui avait servi à Montagné. Sa fille qui poussait des cris à la fenêtre opposée était retenue par Montagné qui la frappait à coups répétés ; elle parvint à se dégager et sauta à son tour dans la rue. On transporta les deux pauvres femmes dans le café voisin où les soins leur furent prodigués. La mère aurait reçu sept coups de couteau dont un au ventre et la fille six. 

On ne savait encore qui était le meurtrier ; Un habitant ayant tiré un coup de fusil Montagné parut à la fenêtre et se fit connaître.

C'est un garçon boulanger, marié depuis un an à peine à Moussoulens ; sa femme est sur le point d'accoucher. Ajourné deux fois par le conseil de révision, il avait été déclaré bon pour le service cette année.

On ne s'explique pas jusqu'ici le mobile de cette double tentative de meurtre. D'aucuns supposent que c'est le vol, Montagné ayant pu croire qu'un neveu de la veuve Cattenat qui était venu la voir récemment lui avait laissé de l'argent, car elle est plutôt d'ordinaire dénuée de ressources.

L'enquête des magistrats qui ne sont pas encore rentrés à l'heure où nous écrivons ces lignes, aura certainement fait la lumière sur ce point.

D'après les derniers renseignements il n'est plus question, comme on voit, de la participation au crime du nommé Joseph Serres dont faisait mention la première dépêche reçue par le procureur de la République.

Montagné a été gardé à vue à la mairie de Moussoulens, en attendant l'arrivée du parquet.

 

Le numéro suivant (24 avril) revient brièvement sur cette affaire, en indiquant un état critique de la veuve Cattenat. Fort heureusement, celle-ci s'est bien remise par la suite, ainsi que sa fille.

 

DOUBLE TENTATIVE D'ASSASSINAT - Paul Montagné, l'auteur de la double tentative d'assassinat commise à Moussoulens dans la nuit de vendredi à samedi dans les circonstances que nous avons racontées a été transféré à Carcassonne samedi soir et écroué à la maison d'arrêt dès son arrivée.

L'état de la veuve Cattenat est assez grave ; elle a été littéralement lardée de coups de couteau ; on a relevé sur son corps quatorze blessures (1) ; celle qu'elle a reçue au bas ventre fait redouter des complications.

Quant à la jeune fille qui a reçu dix coups de couteau, ses jours ne sont pas en danger, mais elle a l’œil gauche sérieusement atteint.

Des aveux mêmes de l'assassin, il résulte que le vol a été le mobile du crime.


Le Courrier de l'Aude du 3 août 1906 détaille l'audience de la Cour d'assises. L'accusé est maintenant nommé Hippolyte Montagné au lieu de Paul Montagné, peut-être y a-t-il eu une erreur dans les premiers articles, ou bien l'homme porte un deuxième prénom.

 

 Cour d'assises

Présidence de M. Unal, conseiller à la Cour d'appel de Montpellier, assisté de MM. Clergue, juge, et Azaïs, juge suppléant, au tribunal civil de Carcassonne.

Audience du 2 août 1906

TENTATIVE D'ASSASSINAT ET DE VOL QUALIFIÉ

L'audience est ouverte à 9 h. 3/4.

M. Roux, procureur de la République, occupe le siège du ministère public.

Me Soum est assis au banc de la défense.

L'accusé est un nommé Hippolyte Montagné, âgé de 23 ans, garçon boulanger, né à Caudebronde, domicilié à Moussoulens qui comparaît sous l'inculpation d'une tentative de vol qualifié et d'une double tentative d'assassinat. 

Au moment où M. le président va tirer de l'urne les noms des jurés,  l'un de ces derniers, M. Émile Clarenc, l'interpelle et l'invite à remuer les boules afin dit-il, qu'il ne sorte pas toujours les mêmes.

M. le président répond au juré qu'il aurait pu se dispenser de lui faire pareille observation, et qu'il connaît suffisamment son devoir pour qu'il n'ait pas à le lui indiquer.

Acte d'accusation

Le jury constitué, M. Auriffeuille, greffier en chef, donne lecture de l'acte d'accusation :

Dans la nuit du 20 au 21 avril dernier, vers 10 heures du soir, la veuve Cattenat, qui était couchée dans une chambre du 1er étage, entendit ouvrir de l'extérieur les contrevents de la fenêtre qui n'étaient que poussés et vit apparaître derrière les vitres une figure humaine. Elle se leva aussitôt et se dirigea vers la fenêtre mais l'individu qui se présentait ainsi brisa un carreau, fit jouer l'espagnolette, sauta dans la chambre et se précipita sur la veuve Cattenat qu'il frappa de plusieurs coups d'un couteau qu'il tenait ouvert dans la main. Aux cris poussés par la dame Cattenat, sa fille Marie Louise, âgé de 16 ans, qui couchait dans la même chambre, se réveilla et se porta au secours de sa mère. Elle fut à son tour frappée par cet individu de plusieurs coups de couteau. Des voisins attirés par les cris étaient accourus, le meurtrier abandonna ses victimes et se réfugia au rez-de-chaussée par où il espérait s'enfuir. La mère descendit ensanglantée par l'échelle qui avait servi au meurtrier pour atteindre la fenêtre du premier étage, et sa fille se jeta par une croisée d'une autre chambre dans la rue où se tenaient plusieurs personnes pour la recevoir. Toutes deux furent conduites dans une maison voisine pour y recevoir des soins.

L'auteur de l'agression chercha à fuir par la porte de la cuisine mais il fut accueilli dès qu'il parut par un coup de fusil qui ne l'atteignit pas et le fit rentrer (2). Craignant pour ses jours, il cria alors qu'il était Montagné, le garçon boulanger, et qu'il se rendait. On se saisit de lui.

Il reconnaît aussitôt que s'il avait pénétré chez la veuve Cattenat c'était pour la voler et il renouvela cet aveu à diverses reprises. Ce n'est que plus d'un mois après son arrestation qu'il a imaginé un autre système. Il a prétendu que s'il était allé chez la veuve Cattenat, c'était non pas pour la voler mais pour voir la fille qui lui avait donné rendez-vous. Marie Louise Cattenat a protesté énergiquement.

Il paraît dans tous les cas invraisemblable qu'elle ait donné un rendez-vous à Montagné, alors qu'elle occupait la même petite chambre que sa mère. Les coups de couteau portés par Montagné, quoique nombreux, quatorze pour la mère et dix pour la fille, n'ont entraîné aucune conséquence grave.

En conséquence, Montagné est accusé 1° De tentative de vol la nuit, à l'aide d'escalade et d'effraction dans une maison habitée ; 2° D'une double tentative de meurtre.

Interrogatoire de l'accusé

L'accusé n'a pas subi de condamnation, mais il paraissait pour un paresseux et un débauché. Montagné n'avait pas de ressources. Il était marié depuis un an à peine au moment du crime. Il est devenu père quelques jours après son arrestation. 

Le 19 avril au soir, Montagné entra sans frapper chez un voisin M. Micoulau.  L'accusation suppose qu'il allait dans cette maison pour voler, ce que nie l'accusé. 

Questionné sur le mobile qui l'emmena le lendemain chez la veuve Cattenat,  Montagné répond que la demoiselle Marie Louise Cattenat lui avait donné un rendez-vous pour 9 heures.

M. le président. -  Cette explication est invraisemblable. D'abord vous êtes arrivé à 10 heures au lieu de 9 heures. Puis vous saviez que la fille Cattenat couchait dans la même chambre que sa mère. 

L'accusé. - La jeune fille m'avait dit que sa mère était absente,

M. le président. - Pourquoi avez-vous déclaré tout d'abord que vous étiez allé chez les dames Cattenat pour voler ?

L'accusé. - Je ne l'ai pas dit.

M. le président. - Pourquoi n'êtes-vous pas passé par la porte, du moment que la mère de la jeune fille, d'après vous n'était pas là.

L'accusé. - Parce que la porte craquait.

Vainement M. le président insiste pour obtenir de l'accusé l'aveu qu'il est allé dans la maison Cattenat pour voler. Montagné persiste à affirmer qu'il allait au rendez-vous que lui avait donné la jeune fille.

Les témoins

 M. le docteur Peyronnet, de Carcassonne, qui fut appelé à faire les constatations médico-légales, dit que la dame Cattenat présentait 14 blessures dont une à l'abdomen ; la jeune fille en avait reçu 10, dont une à l’œil gauche ; ces blessures étaient superficielles et les deux femmes furent complètement rétablies au bout d'une vingtaine de jours. 

Élisa Cattenat, 53 ans, ménagère à Moussoulens, un (sic) des deux victimes de l'accusé, raconte comment Montagné pénétra dans sa maison. 

Elle était réveillée quand il ouvrit les volets et brisa le carreau de la fenêtre. Elle se leva aussitôt et c'est elle que Montagné frappa la première. 

L'accusé avait prétendu avoir frappé d'abord la jeune fille.

À aucun moment elle n'avait dit à sa fille qu'elle dut s'absenter. Lorsqu'il lui est arrivé de s'absenter la nuit, sa fille est allée coucher chez des amis.

Marie Louise Cattenat, 16 ans, fille du précédent témoin, nie avoir donné de rendez-vous à Montagné, et avoir jamais eu aucune espèce de relations avec lui.

L'accusé persiste dans ses affirmations.

Nicolas Mallet, 46 ans, gardien chef de la prison de Carcassonne, raconte certaines excentricités auxquelles l'accusé se livra à la maison d'arrêt. Le 28 avril, il se fit prêter un couteau par un camarade et se taillada le mollet. Il déclara qu'il voulait se suicider (!) Quelques jours après, il fit un tapage d'enfer dans sa cellule au milieu de la nuit. Questionné, il répondit qu'il voulait être interné à Limoux. Plus tard il se taillada tout le corps avec un morceau de lame de corset.

C'était, dit-il, pour souffrir lui-même ce qu'il avait fait souffrir à ses deux victimes.

Huit jours de cellule suffirent pour faire cesser ces excentricités.

Denis Nicouleau (3), 73 ans, propriétaire à Moussoulens. - C'est le témoin chez qui Montagné se rendit le 19 avril, vers 9 heures du soir. À la réflexion, cette visite tardive lui parut suspecte.

Jean Beauguil, 24 ans, maréchal-ferrant à Moussoulens. - Ce témoin arriva un des premiers devant la maison Cattenat, aux cris des victimes. Il donne des détails sur l'arrestation de Montagné qui ne se fit connaître qu'après le coup de fusil tiré par un de ses camarades.

Après l'audition de ce témoin, l'audience est suspendue et renvoyée à 2 heures et demie.

À la reprise, on continue l'audition des témoins.

Pierre Joseph Maisonneuve, 35 ans, garde-champêtre à Moussoulens. - C'est lui qui procéda à l'arrestation de Montagné. L'accusé lui déclara tout d'abord qu'il avait un complice, un Espagnol, nommé Serres, qui se trouvait dans la maison Cattenat, porteur d'un long couteau, ce qui était inexact. Au sujet du mobile du crime, Montagné lui dit d'abord qu'il était allé chez la veuve Cattenat sur un coup de tête pour passer un moment, puisque c'était pour la voler. 

Joséphine Guilhem, 21 ans, de Moussoulens, déclare que Marie Louise Cattenat passa à sa maison l'après-midi du 20 avril, de midi à 3 heures, contrairement à l'affirmation de l'accusé qui prétend s'être rencontré  à midi dans le jardin Ouradou avec la fille Cattenat qui lui donna à ce moment le rendez-vous pour le soir.

Le témoin ignore et n'a jamais entendu dire que son amie ait eu des relations avec Montagné.

M. Louis Combes, maire de Moussoulens, donne à son tour tous les renseignements qu'on connaît déjà sur les circonstances du crime. À M. Combes, Montagné parla aussi tout d'abord du complice Serres ; c'est seulement plusieurs heures après qu'il avoua qu'il était seul. Il indiqua le vol à deux reprises comme mobile de son crime.

D'après le témoin, la réputation de l'accusé ne fut pas mauvaise tant qu'il fut garçon, mais une fois marié, il ne travaillait pas toujours et s'occupait à marauder et à braconner.

Sans accuser Montagné d'en être l'auteur M. Combes constate que de nombreux méfaits avaient été commis avant son arrestation, ces vols cessèrent aussitôt après son incarcération.

Le réquisitoire

Cette affaire est très grave, dit M. le procureur de la République au début de son réquisitoire et comporte la peine capitale.

Il n'ira pas cependant jusqu'à réclamer une peine aussi rigoureuse étant donné les circonstances du crime. 

M. le procureur s'attache à établir que Montagné n'est allé chez la veuve Cattenat que pour voler. L'accusé était sans travail, besogneux, il savait que la veuve Cattenat avait reçu la visite d'un cousin (4) qui avait pu lui laisser quelque argent. Montagné l'a du reste déclaré lui-même à maintes reprises, devant le juge de paix, devant le maire, devant le procureur de la République et devant le juge d'instruction. C'est seulement longtemps après, au cours de l'instruction, qu'il a adopté le système de défense consistant à dire qu'il était allé à un rendez-vous.

L'organe du ministère public montre l'invraisemblance et la fausseté d'un pareil système.

En ce qui concerne la double tentative de meurtre, M. le procureur attribue à l'accusé l'intention de tuer, lorsqu'il frappa la mère et la fille Cattenat, ce n'est pas de sa faute si les coups qu'il a portés n'ont pas entraîné la mort.

En tout cas, M. le président ayant annoncé qu'il poserait la question subsidiaire de simples coups et blessures, l'organe du ministère public laisse à la conscience de MM. les jurés le soin d'apprécier s'ils doivent répondre affirmativement à la question de tentative d'homicide ou à celle de coups et blessures.

Il ajoute que loin de s'opposer à l'admission des circonstances atténuantes, il est le premier à les demander en faveur de Montagné dont les antécédents ne sont pas mauvais, qui est encore jeune et appartient à une honorable famille.

C'est à un verdict ainsi mitigé que M. le procureur conclut son éloquent réquisitoire.

Après une courte suspension d'audience, la parole est donnée à Me Soum pour

Le plaidoyer

L'accusé, dit le jeune et brillant défenseur, est un enfant, un déprimé, plutôt qu'un criminel. Il n'a pas d'antécédent. L'argent qu'il gagnait, il le porte à sa femme, allant jusqu'à lui demander de lui laisser les 50 centimes dont il a besoin pour ses menus plaisirs du dimanche.

On a reproché à Montagné ses variations dans les diverses déclarations  au cours de l'instruction, mais il n'a pas varié devant le jury.

Me Soum discute un à un les arguments de l'organe du ministère public,  et s'efforce d'établir que le système de défense de Montagné peut être l'expression de la vérité.

Il n'y a eu en tout cas ni tentative de vol ni tentative de meurtre.

Et ce qui le prouve, c'est que la Cour a jugé à propos de poser la question subsidiaire de coups et blessures.

Le défenseur montre la gravité de la peine à laquelle le jury exposerait Montagné, 2 ans de prison s'il répondait affirmativement à cette question subsidiaire.

Montagné va être appelé à la caserne au mois d'octobre prochain pour faire une année de service ; là il apprendra ce qu'il ignore encore des devoirs de la vie.

Dans une émouvante péroraison, l'éloquent défenseur adjure le jury de rapporter en sa faveur un verdict d'indulgence, c'est-à-dire d'acquittement.

Le verdict

Après une heure de délibération, le jury revient avec un verdict négatif sur les questions de tentative de vol et de tentative d'homicide, affirmatif sur la question subsidiaire de coups et blessures sans circonstances atténuantes.

En conséquence de ce verdict, la cour condamne Montagné à deux ans de prison.

L'audience est levée à 7 heures.

 

Montagné, qui risquait la peine de mort pour ses actes, s'en sort à bon compte avec ces deux années d'emprisonnement.  S'est-il rangé ensuite ? En tout cas, nous n'avons pas retrouvé trace d'autres délits de sa part qui auraient pu être rapportés dans les journaux locaux.

 

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(1) Donc le double de coups en ce qui concerne la mère, par rapport à ce qui avait été d'abord annoncé dans le premier article ; et également quatre coups de plus pour la fille, dix au lieu de six.

(2) La version donnée dans l'article du 22 avril 1906 était donc incorrecte, lorsqu'il était dit que le meurtrier était paru à la fenêtre après qu'un habitant de Moussoulens ait tiré un coup de fusil. Version qui paraissait d'ailleurs tout à fait illogique.

(3) Le nom indiqué plus haut était "Micoulau". 

(4) Dans l'article du 22 avril, il était dit un neveu ! 

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